L'argent de notre banque nationale est investi à hauteur de milliards dans le maintien du réchauffement climatique et de la perte de biodiversité. En s'accrochant aux vieux schémas et habitudes, elle freine le changement nécessaire et maintient les structures qui font de notre terre un désert. Nous sommes toutes et tous d'accord pour dire que notre argent ne doit plus servir à détruire les bases de notre existence. C'est pourquoi nous demandons à la BNS de se débarrasser de ses œillères, de prendre au sérieux les dernières découvertes scientifiques, de modifier son comportement sur cette base, de s'engager activement en faveur de l’humain et de l'environnement et de mener ainsi enfin une politique monétaire dans l'intérêt général du pays, comme l'exige son mandat.

En fin de compte, ce n'est pas une question de possibilité, mais de volonté.

Cher Monsieur Jordan, cher Monsieur Schlegel, chère Madame Mächler et tous les autres décideur·euses, êtes-vous prêt·es à prendre de nouvelles décisions à ce sujet ?
 

Les revendications présentées ici montrent les premières étapes possibles et nécessaires pour y parvenir.